Le circuit des Dolmens
Saint-Affrique

Le circuit des Dolmens

Histoire et patrimoine
Point de vue
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Cette grande boucle sur l’avant-causse saint-affricain, l’un des plus longs parcours de randonnée en sud-Aveyron, vous conduit de dolmen en dolmen, vestiges des installations humaines au Néolithique

Une fois franchie la Sorgues à Saint-Affrique, allez à la rencontre de nos ancêtres en arpentant un pays à forte concentration de mégalithes. Six dolmens, chambres sépulcrales du Néolithique, jalonnent ce voyage dans le passé : dolmens de Touloupy, Boussac Est, Boussac Ouest, Crassous Puech, Ibilié, enfin le plus majestueux, le dolmen classé de Tiergues


Les 8 patrimoines à découvrir

  • Point de vue

    Vue sur St-Affrique

    À la fin de la journée, ce point de vue offre un panorama exceptionnel sur la ville de Saint-Affrique, idéal pour capturer de superbes photos dans une lumière douce et chaleureuse.
  • Dolmen

    Dolmen de Touloupy

    Avec environ 1 000 dolmens, l’Aveyron est le département le plus peuplé de dolmens en France ! Bien loin devant le Morbihan et ses 550 mégalithes bretonnes (dolmens et menhirs compris).  Autre croyance erronée, les dolmens ont été érigés par les Celtes. Faux ! Ce sont les populations néolithiques qui les ont construits entre la fin du Vème et du IIIème millénaire av. JC.
    Les dolmens, qui signifient en breton « table de pierre », auraient servi de sépultures collectives abritant jusqu’à une centaine de personnes. Curieux de les voir de vos propres yeux ?
    Situé à 300 m de la ferme de Touloupy, ce dolmen néolithique trône sur un petit plateau et garde un charme authentique malgré les siècles passés. Bien qu’il ait perdu sa dalle de chevet et une partie de son tumulus d’origine, ce dolmen simple a été restauré par ses propriétaires, offrant aux visiteurs un aperçu des traditions préhistoriques du Pays du Roquefort.
  • Histoire et patrimoine

    Chapelle de Boussac

    Datant du Xe siècle, la chapelle Saint-Martin de Boussac est l’ancienne église principale de la paroisse, perchée sur une butte à 650 mètres d’altitude. Rénovée en 1999, elle est un lieu de rassemblement pour les habitants chaque 15 août, lorsqu’une messe en plein air y est célébrée. Ce monument est un témoignage du passé religieux et des traditions vivantes du Pays du Roquefort.
  • Dolmen

    Dolmen de Crassous

    Avec environ 1 000 dolmens, l’Aveyron est le département le plus peuplé de dolmens en France ! Bien loin devant le Morbihan et ses 550 mégalithes bretonnes (dolmens et menhirs compris).  Autre croyance erronée, les dolmens ont été érigés par les Celtes. Faux ! Ce sont les populations néolithiques qui les ont construits entre la fin du Vème et du IIIème millénaire av. JC.
    Les dolmens, qui signifient en breton « table de pierre », auraient servi de sépultures collectives abritant jusqu’à une centaine de personnes. Curieux de les voir de vos propres yeux ? 
    Ce dolmen, visible depuis la route, fait partie, avec celui de Tiergues, des dolmens qui méritent le détour. Son surnom, l'Ercoule, nous rappelle que  selon la légende ce fut le demi-dieu Hercule connu pour sa force sur-humaine qui bâtit cette sépulture.

    source : Statues-menhir et dolmens des Causses et du Haut Languedoc - Bruno Marc - Les Presses du languedoc.

  • Dolmen

    Dolmen de Tiergues

    Avec environ 1 000 dolmens, l’Aveyron est le département le plus peuplé de dolmens en France ! Bien loin devant le Morbihan et ses 550 mégalithes bretonnes (dolmens et menhirs compris).  Autre croyance erronée, les dolmens ont été érigés par les Celtes. Faux ! Ce sont les populations néolithiques qui les ont construits entre la fin du Vème et du IIIème millénaire av. JC.
    Les dolmens, qui signifient en breton « table de pierre », auraient servi de sépultures collectives abritant jusqu’à une centaine de personnes. Curieux de les voir de vos propres yeux ?
    Classé monument historique, le dolmen de Tiergues, comme bien d'autres en Aveyron, fait partie d’un ensemble remarquable de monuments funéraires néolithiques. Il a été exploré au XXe siècle par l’archéologue Emile Cartailhac, dont les découvertes sont aujourd’hui réparties entre Rodez et Toulouse. Ce site invite à découvrir les croyances et pratiques funéraires de nos lointains ancêtres dans un cadre naturel enchanteur.
  • Histoire et patrimoine

    Rocher de Caylus

    Perché à 519 mètres, le rocher de Caylus est l’ancien support du château des comtes de Caylus, édifié au XIe siècle. Ce château, détruit en 1238, formait le cœur d’un ensemble fortifié qui protégeait la population. En 1808, les dernières parties de l’enceinte furent démantelées pour aménager la route de Tiergues. Ce lieu raconte une partie méconnue de l’histoire féodale et des luttes de pouvoir en Aveyron.
  • Architecture

    Le Pont Vieux de Saint-Affrique

    Classé monument historique, le Pont Vieux est l’un des plus beaux ponts médiévaux de France, attesté depuis 1408. Ce pont à l'architecture hardie et légère s’étend avec une arche centrale de 21,4 m, encadrée de deux arches plus petites. Construit en dos d’âne avec des piles triangulaires élancées, il témoigne de l’ingéniosité des bâtisseurs médiévaux. Ce joyau architectural offre un passage vers l’histoire de Saint-Affrique, invitant à un véritable voyage dans le temps.
  • Histoire et patrimoine

    Ville de St-Affrique

    Le nom de Saint-Affrique, avec ses deux "F", intrigue souvent. Son origine remonte au Ve siècle, lorsque les Wisigoths Ariens persécutaient les chrétiens catholiques. Africanus, évêque exilé du Comminges, aurait trouvé refuge près de la Sorgues et profité de son séjour pour évangéliser les habitants et accomplir divers miracles, une histoire relatée sur les vitraux de l’église Notre-Dame de la Miséricorde. Le nom Saint-Affrique, attesté dès 942 dans les archives de Vabres l’Abbaye, provient peut-être du terme wisigothique "Affric" ou "Effric", signifiant "puissant et affreux." Anecdote : pendant la Révolution, la ville fut brièvement rebaptisée "Montagne sur Sorgues" pour éviter une référence religieuse, comme c’était alors la coutume.

Description

  1. Depuis l'office de tourisme, traverser la Sorgues en empruntant le Pont-Neuf. Juste après le pont, tourner à gauche en épingle pour rejoindre les berges de la Sorgues rive droite. Tourner à droite pour remonter " la Carrierasse ", voie conduisant à un chemin plus étroit grimpant sur le flanc de montagne appelé " travers des Cazes ". Rejoindre la route goudronnée.
  2. Après les Escarbassols, quitter la route et virer à droite puis à gauche sur un chemin de terre. Suivre la direction N.O.en sous-bois. Descendre vers le ravin du Riviéral. Le franchir en passant au-dessus d'une clôture et trouver, en face, une large piste virant en épingle. Remonter ensuite vers le plateau en longeant une haie sur la droite d'un champ pentu. Rejoindre un chemin de desserte. Arriver à une intersection. Tourner à droite pour se rendre à la chapelle.
  3. Revenir sur ses pas jusqu'à la route desservant Boussac. Tourner à droite puis à gauche pour suivre un chemin de terre pendant 1,5 km.
  4. Rejoindre la route de Boussac . Arriver à la jonction avec la route de Nougayrolles. En face, un sentier bordé de buis, vous conduira en un quart d'heure, A.R.au quatrième dolmen. Revenir sur ses pas et reprendre la route vers Crassous. Peu avant la carrière : à droite, autre dolmen bien conservé.
  5. A l'entrée du hameau, quitter la route, suivre à gauche une piste empierrée au milieu des maisons. Descendre un chemin tortueux et rejoindre la D 50 puis la D 250. Suivre la route pendant 250m et prendre à droite une " buissière " parallèle à la route puis un chemin de Causse qui, après avoir retrouvé la route, arrive à la croix de Baldassé. Continuer vers l'est jusqu'au dolmen de Tiergues.
  6. Suivre vers le sud-ouest la piste entre champ et bosquet et rejoindre une « buissière ». Retrouver une piste puis un sentier descendant le ravin des Gardies. Faire jonction avec la piste reliant Saint- Affrique à Tiergues.
  7. Longer à droite le ravin de Nougayrolles. Passer devant une bergerie. Continuer dans la même direction. Arriver à une intersection avec le sentier venant des crêtes
  8. Descendre vers le rocher de Caylus que l’on contourne par un chemin empierré jusqu’à la route. Trouver à gauche un chemin puis un sentier étroit surplombant la D 993. Retrouver la route et rejoindre le centre ville.
Soyez prudent aux traversées de route et de ruisseau
Circuit imaginé et décrit par l'association de randonneurs Les Cardabelles.
  • Départ : Place Foch
  • Arrivée : Place Foch
  • Communes traversées : Saint-Affrique et Saint-Rome-de-Tarn

Profil altimétrique


Lieux de renseignement

OT Pays du Roquefort

Avenue de Lauras, 12250 Roquefort/Soulzon

http://www.roquefort-tourisme.fr/contact@roquefort-tourisme.fr0565585600

Situé dans le Parc naturel régional des Grands Causses, la cité fromagère de Roquefort, altitude 630 mètres, 700 habitants, s'étire au flanc du célèbre éboulis du Rocher du Combalou, au sud du Larzac.
PÉRIODES D’OUVERTURE :
L’Office de Tourisme est ouvert à l’année :
    •    En juillet, août et jusqu'au 18 septembre : du lundi au samedi : 9h30-12h30 & 13h30-17h00
    •    De septembre à juin : du lundi au vendredi : 9h30-12h30 & 13h30-17h00, fermé le samedi et dimanche.
 

En savoir plus

Transport

Se déplacer en bus ou en train : https://lio.laregion.fr/

Covoiturage : BlaBlaCar, Rézo Pouce, Mobicoop, Idvroom, LaRoueVerte, Roulez malin


Accès routiers et parkings

Saint-Affrique est sur la RD 999, sur l'axe Millau-Albi.

Stationnement :

Place Foch ou Leclerc

Source


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